CosmétiCar s’implante de nouveau en Bretagne !


Fort de son expertise, la franchise CosmétiCar poursuit son ascension au niveau national.

Le réseau de lavage auto sans eau ne cesse de développer le nombre d’unités mobile cette année. Aujourd’hui, c’est auprès de Jean-Yves et son agence de Saint-Brieuc dans les Côtes-d’Armor que nous nous dirigeons.

4 questions à Jean-Yves

Pouvez-vous nous parler de votre parcours professionnel ?

J’ai travaillé presque 20 ans chez Hutchinson, un fournisseur de joint en caoutchouc. J’ai débuté ma carrière comme opérateur sur machine puis j’ai commencé en 2010 un parcours de technicien d’atelier (méthode), poste que j’ai occupé jusqu’en juin 2021. Mes principales missions étaient l’amélioration continue en respectant le QCD (Qualité / Coût / Délais), l’ergonomie au poste de travail, l’amélioration des temps de production….

Quels sont les éléments qui vous attirent le plus chez CosmétiCar ?

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Après toutes ces années dans l’industrie automobile, j’avais besoin de changement, et la perspective de me lancer dans l’entreprenariat m’a séduit.

Il fallait trouver un secteur d’activité qui me convienne. Je suis attiré par l’automobile depuis tout petit, nous sommes à côté d’un très beau musée automobile (Lohéac), j’adore déambuler dans les allées et regarder ces beaux objets roulants. Le lien avec CosmétiCar était fait. Allier passion et respect de l’écologie était une évidence.

Quelles sont vos perspectives de développement ?

Je souhaite commencer par travailler avec les professionnels et les particuliers de ma région. Me faire un bon carnet d’adresse et m’implanter dans mon secteur. Par la suite pourquoi pas ouvrir un centre fixe, dans quelques années. L’aventure CosmétiBoat m’attire aussi beaucoup, je pourrai tout à fait m’y intéresser une fois mon agence CosmétiCar bien installée dans le secteur.

Selon vous, en quoi votre département Côte d’Armor a besoin des solutions éco-responsables CosmétiCar ?

Nous sommes une région côtière et touristique, les questions environnementales nous sont chères. La gestion de l’eau, l’impact des algues vertes sont compliquées. Le fait d’utiliser une méthode sans eau, sans rejets dans la nature semble primordial pour notre belle région.

 

Je veux être le colibri qui éteint l’incendie.


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